Goliath, le Grand Homme qui Rencontra un Caillou

(Pour les garçons et les filles) Goliath, le Grand Homme qui Rencontra un Caillou

On ne nous dit rien sur l’histoire de Goliath, mais on nous laisse deviner, et je pense que nous ne nous tromperons pas de beaucoup. Voici ce qu’il en est. 

Lorsque Goliath est né, tout le monde voulait voir ce grand bébé. Tous les voisins en parlaient. Lorsqu’il est devenu enfant, tous ceux qui venaient chez lui disaient : « Mon Dieu, quel grand garçon tu es en train de devenir ! ». Plus tard, à l’adolescence, les autres garçons ont fait de lui leur champion dans toutes leurs querelles, aventures et batailles. Certains garçons ne l’aimaient peut-être pas, mais lorsqu’il se présentait à eux, ils prenaient leurs jambes à leur cou et se cachaient chaque fois qu’ils le pouvaient. Le mot circulait : « Voilà Golly. Écartons-nous de son chemin ! ». Puis, à l’âge adulte, il s’engagea dans l’armée. Il mesurait environ neuf pieds de haut, ou peut-être onze pieds, et son armure pesait deux cents livres. La tête de sa lance pesait à elle seule vingt-cinq livres. Il n’est pas étonnant qu’il ait été nommé champion de l’armée !

C’était un homme si grand, mais le malheur, c’est que tout ce qu’on disait de lui à l’enfance, à l’adolescence et à l’âge adulte (en sa présence) lui était entré dans la tête et l’avait rendu très imbu de sa personne et de sa suffisance. Il se faisait une telle idée de lui-même que, non seulement il se croyait plus intelligent que les autres, mais il s’imaginait être plus grand que Dieu. 

Ainsi, lorsqu’Israël s’est préparé à combattre les Philistins, ces derniers ont poussé Goliath en avant et lui ont dit : « Laisse-les te voir et entendre ta grosse voix, et nous n’aurons plus d’ennuis ». Malheureusement, les Israélites étaient en si mauvais état que cela a fonctionné, et lorsque « Golly » s’est pavané et a crié son défi, ils ont tous fui et se sont cachés. La situation semblait désespérée pour Israël. Que faire ? Laissons-les et Goliath pour un moment et allons à quelques kilomètres de là.

À l’extérieur de la ville de Bethléem, il y avait un champ, et dans ce champ, un troupeau de moutons, et un jeune, peut-être un adolescent, qui s’occupait de ces moutons. Les brebis appartenaient à son père ; il avait donc un sens particulier de la responsabilité à leur égard, et il prenait cette responsabilité au sérieux. Ce sens des responsabilités est devenu un élément très fort de son caractère et allait jouer un rôle important dans son histoire. Eh bien, il était là, pendant les longues journées et les longues nuits, à s’occuper des moutons. 

Comment passait-il le temps ? S’allongeait-il sur le sol et dormait-il pendant des heures, ou restait-il éveillé et rêvait-il de choses irréelles et impossibles ? Pas du tout ! Il y avait certaines choses qu’il faisait et qui allaient jouer un rôle important dans sa vie future, même s’il ne le savait pas au moment où il les faisait. 

Par exemple, il a fabriqué des instruments de musique et a appris à en jouer et à chanter. Il ramassa des roseaux, les creusa, les coupa en différentes longueurs, les attacha ensemble en rangée et joua des airs dessus. Puis, comme il n’avait pas de livre de chants, il a composé ses propres chants (Psaumes). C’est peut-être en gardant et en soignant les brebis de son père que le vingt-troisième psaume a pris forme dans son esprit. Il l’a peut-être même joué sur son instrument. 

Mais il y avait un autre instrument de musique qu’il avait fabriqué. Il se rendit à un arbre et coupa une branche solide qui se plierait juste ce qu’il fallait, mais qui avait besoin d’une certaine force pour le faire. Il y attacha des cordes de différentes longueurs et fit en sorte que la branche les tende très fort. C’était une harpe, et il devint si habile à en jouer que, plus tard, le roi en fit son harpiste, et c’est avec cette harpe qu’il composa tout un volume de Psaumes. 

 Une autre chose occupait son temps. Il s’entraînait à lancer des pierres à l’aide d’une fronde sur des objets qu’il plaçait à une certaine distance. Il devint si expert dans le lancer de pierres qu’il pouvait frapper un objet exactement là où il voulait le frapper, et avec une telle force que la pierre se logeait dans l’objet ou le brisait. 

Une nuit, un lion est venu dans le champ pour enlever un mouton. Notre jeune homme éleva son cœur vers Dieu et dit : « Oh, Dieu, aide-moi à sauver la brebis et à tuer ce lion ». C’est ce qui s’est passé, et le lion n’a jamais pu s’échapper vivant. Une autre fois, un ours tenta la même chose et subit le même sort. 

Un jour, son père lui dit : « Mon fils, tu sais qu’il y a une guerre et que tes frères y participent. Je veux que tu ailles voir comment ils vont. N’y va pas les mains vides ; prends des fruits et d’autres choses, et rapporte-moi un rapport sur l’évolution de la guerre ». 

Il s’y rendit donc et, alors qu’il posait quelques questions sur la guerre, le vieux « Golly » apparut et se mit à crier, demandant qu’un homme vienne se battre contre lui. Notre jeune ami pensa : « Je ne suis peut-être pas un géant, mais seulement un berger, mais lorsque ce lion et cet ours ont rugi contre moi et ont essayé de détruire les moutons, j’ai prié Dieu et il m’a aidé à les détruire. Pourquoi cet homme ne rencontrerait-il pas le même Dieu ? Oh, Dieu, qui m’a aidé alors, en ton nom et avec ta force, je vais aller chercher cet homme ». 

Il se dirigea donc vers un ruisseau, choisit cinq pierres lisses, tira sa fronde de sa ceinture et, disant au vieux « Golly » que ce n’était pas à lui mais à Dieu qu’il devait rendre des comptes, il mit l’une des pierres dans sa fronde et, tout en courant vers le géant, il balança la fronde autour de sa tête avec une telle force qu’on pouvait entendre le souffle, puis il la relâcha et la pierre s’envola. Elle atteignit sa cible et quelqu’un a dit que « rien de tel n’était entré dans la tête de Goliath auparavant ». 

Vous connaissez la suite de l’histoire et le reste de la vie de David. Ce récit peut nous apprendre beaucoup de choses. 

Permettez-moi d’en citer quelques-unes. Nous ne savons jamais ce que Dieu a en tête pour notre vie, mais la fidélité actuelle, un réel sens des responsabilités et le fait d’apprendre à faire confiance à Dieu et à le prouver dans nos difficultés actuelles seront certainement d’une grande valeur dans les jours à venir. Sous l’œil de Dieu – à notre insu – nous sommes peut-être en train d’être formés pour un travail de vie d’une grande valeur pour Lui. Et notre situation actuelle peut nous donner l’occasion de montrer que ce n’est pas pour nous-mêmes, mais pour les intérêts de Dieu que nous vivons. Alors, ce que le vieux « Golly » a découvert, c’est qu’il faut une toute petite chose avec Dieu en elle pour faire tomber les choses très grandes et très importantes pour soi. 

par T. Austin-Sparks Publié pour la première fois dans le magazine « A Witness and A Testimony », juillet-août 1967, vol. 45-4. Source : Goliath, the Big Man who Met a Pebble. (Traduit par Paul Armand Menye). 

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Aimer Dieu (2)

Si quelqu’un dit :
J’aime Dieu,
et qu’il haïsse son frère,
c’est un menteur ;
car celui qui n’aime pas son frère
qu’il voit,
comment peut-il aimer Dieu 
qu’il ne voit pas ?
 Et nous avons de Lui ce commandement :
que
 » celui qui aime Dieu aime aussi son frère « .
1 Jean 4, 20 
 
Celui que le Seigneur aime,
Il le discipline
Proverbes 3, 12 & Hébreux 12,6
Beaucoup disent aimer Dieu et ne voient pas
qu’Il est dans l’obligation de les faire passer par la discipline
( attention, PAS la punition ! )
à cause de leur inconséquence.
C’est la conséquence directe
de l’Alliance Nouvelle en Jésus-Christ.
Une Alliance à des droits
et nous aimons bien les prendre :
 il existe des livres spécifiques
de toutes les Promesses de Dieu
dans les Écritures
que  nous nous devons de Lui rappeler…
Je n’ai jamais compris pourquoi il n’existe pas
AUSSI
 des livres concernant les obligations à respecter ?!
Les droits et les obligations ne sont pas séparables
dans un contrat courant ;
alors pourquoi les séparer
quand il s’agit de notre Alliance avec Dieu ?
Soyons logiques et cohérents avec nous-mêmes !
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Aimer Dieu (1)

Si quelqu’un dit :
J’aime Dieu,
et qu’il haïsse son frère,
c’est un menteur ;
car celui qui n’aime pas son frère
qu’il voit,
comment peut-il aimer Dieu 
qu’il ne voit pas ?
 Et nous avons de Lui ce commandement :
que
 » celui qui aime Dieu aime aussi son frère « .
1 Jean 4, 20 
Nous avons connu l’Amour,
 en ce qu’Il a donné sa vie pour nous ; 
nous aussi, 
nous devons donner notre vie pour les frères.
1 Jean 3,16
Personne n’a jamais vu Dieu ;
 
si 
 
nous nous aimons les uns les autres, 
 
Dieu demeure en nous, 
 
et 
 
Son Amour est parfait en nous.
 
1 Jean 4, 12
 
à suivre…
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L’Autorité du croyant

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La valeur personnelle de la Femme

L’exemple de Marie dans l’évangile de Luc

Luc 8, 38-42
38 Et il arriva, comme ils étaient en chemin, qu’Il entra dans un village.
Et une femme nommée Marthe le reçut dans sa maison.
39 Et elle avait une sœur appelée Marie, qui aussi,
s’étant assise aux pieds de Jésus, écoutait Sa parole ;
40 mais Marthe était distraite par beaucoup de service.
Et étant venue à Jésus, elle dit : Seigneur, ne te soucies-tu pas de ce que ma sœur me laisse toute seule à servir ? Dis-lui donc qu’elle m’aide.
41 Et Jésus, lui répondant, dit : Marthe, Marthe, tu es en souci
et tu te tourmentes de beaucoup de choses,
42 mais il n’est besoin que d’une seule ;
et Marie a choisi la bonne part qui ne lui sera pas ôtée.

Jésus est invité dans la maison de Béthanie…
Il enseigne les personnes présentes – en principe ce ne sont que des hommes juifs,
selon les coutumes en vigueur à cette époque : les femmes ne participaient pas à l’enseignement. Mais Marie est là, devant Lui,  
assise à Ses pieds à la façon d’un étudiant masculin
au lieu d’être debout et à la porte de la salle, en retrait !
Elle est à la place normale …de tout disciple… masculin !
Marthe, sa sœur vaque aux tâches habituelles des femmes : elle sert !
Elle accepte sa position de femme tandis que Marie prend un rôle considéré comme « masculin ». Pourtant, Jésus comme Marie savent que la loi orale rabbinique empêchait
 les femmes d’étudier la Torah et que la place « correcte » d’une femme était
de servir son mari et ses fils au foyer. Quand Marthe voit
l’attitude audacieuse de Marie, elle exhorte Jésus à lui dire de l’aider…
Le Seigneur a une réelle occasion de remettre les choses à leur place pour les femmes chrétiennes de tous les temps et de corriger l’audace effrontée de Marie… mais Il ne le fit pas !!
Au lieu de cela, Il la laissa demeurer assise à Ses pieds
et refusa de lui dire d’aider Marthe.
Il ne lui rappela pas que le rôle correct d’une femme était de servir les hommes.
 Mais au contraire, Il reconnut en elle,
un individu entièrement capable de faire ses choix !!
Il lui dit :
 » Marthe, Marthe, tu es en souci et tu te tourmentes de beaucoup de choses,
42 mais il n’est besoin que d’une seule ;
et Marie a choisi la bonne part qui ne lui sera pas ôtée. « 
Par ces mots, Il démasque derrière les traditions religieuses,
des siècles de domination masculine.
– En fait, Il disait :  » il a été dit  » : la place des femmes est au foyer « 
mais Moi Je vous dis  » que la chose la plus importante,
c’est de connaitre la Parole et Marie a choisi la meilleure part !
– Pour le Fils de Dieu, les traditions talmudiques, les positions patriarcales, et les stigmates sociaux des femmes furent annulés une fois pour toutes.
  • – Le choix de Marie d’écouter la Parole était plus important que la Tradition.
  • – Il reconnut que sa valeur personnelle, son intelligence et ses choix rationnels étaient aussi valables que ceux d’un homme.
  • – Il refusa de reconnaitre les traditions juives en sa qualité de Seigneur de la Nouvelle Alliance !

 

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Le discipolat

https://equipedevainqueurs.blogspot.com/2008/04/le-discipolat.html

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1.LE PACTE D’AMOUR

 

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L’Alliance de Dieu (4)

 
Nos paroles  nous lient à Dieu
car, ne l’oublions pas,
notre Alliance avec Lui passe par des Paroles…
 
 
Cette parole est certaine :
Si nous sommes morts avec Lui, nous vivrons aussi avec Lui.
Si nous persévérons, nous régnerons aussi avec Lui.
Si nous Le renions, Lui aussi nous reniera.
Si nous sommes infidèles, 
 
Il demeure Fidèle, 
 
car Il ne peut se renier Lui-Même.
2 Timothée 12
Si nous sommes infidèles à nos engagements
de paroles dans l’Alliance avec Lui
Lui demeure Fidèle !
Dieu ne change pas d’idée
au gré de nos inconséquences.
Dans Sa Fidélité,
Il accorde Son Pardon,
aussi souvent que nécessaire
à celui qui se repent.
C’est cela les droits de l’Alliance !
Dans Sa Fidélité,
Il discipline Ses Enfants :
Nous recevons
les conséquences de nos inconséquences.
Ce sont les obligations de l’Alliance !
Tout contrat a des clauses :
l’Alliance de Dieu n’échappe pas à ce principe.
droits = promesses de Dieu
obligations = discipline de Dieu
Quand nous sommes disciplinés par Dieu
examinons notre vie
pour la mettre en ordre…
à suivre…
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L’Alliance de Dieu (3)

Nous sommes
le Sel de la terre et  la Lumière du monde
 
Matthieu 5 
PARTENAIRES d’Alliance du Dieu de l’Alliance !
Pour beaucoup, cette Réalité-là ne représente rien
dans la vie quotidienne.
Pourtant, c’est cela, notre Identité en Christ.
C’est aussi cela, la Puissance de Dieu
manifestée sur la terre.
Être AMI de Dieu
être ESCLAVE de DIEU
 
(voir articles précédents)
selon les termes bibliques,
c’est vivre l’Alliance avec Lui
dans les domaines les plus concrets de nos vies.
L’Alliance conclue avec Abraham en est une démonstration.
Nous sommes – par la foi,
établis comme descendants du   » Père des croyants « 
et
Enfants de Dieu.
Nos paroles  nous lient à Dieu
car ne l’oublions pas,
notre Alliance avec Lui passe par des Paroles,
et ce sont nos paroles qui nous jugeront
au Jour du Jugement.
à suivre…
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L’Alliance de Dieu (2)

Quand Dieu établit une Alliance :
1. Il la décide et la conclut Lui-même
2. Il la rend ferme par des ParolesSerment et Promesse
3. Il donne un Signe pour Souvenir et Attestation
 
4. Il en donne les limites dans le temps de l’homme
perpétuelle (un commencement ET une fin)
éternelle (sans limites car en Dieu)
Éternel ! 
 
Ta Parole est établie 
 
à toujours 
 
dans les Cieux ! 
 

Psaume 119, 89

 
 
Quand Dieu dit quelque chose,
 (et Il a toujours quelque chose à dire)
 car Il est le VERBE,
Ses Paroles ne peuvent pas être
annulées ou détruites…
Quand Dieu s’engage
rien ne peut abroger Sa Décision !

Il est Fidèle et Véritable.

 
C’est la raison pour laquelle
nous pouvons croire Ses Paroles,
car elles sont Sources de Vie.
Il attend la même chose de notre part.
– fidélité
– loyauté
– fiabilité
– vérité…
afin que nous soyons réellement
 
le Sel de la terre
 et
la Lumière du monde
Matthieu 5
 
car nous sommes
PARTENAIRES d’Alliance 
avec le Dieu de l’Alliance.
Notez que le Sel,
dans les Écritures,
 représente l’inviolabilité de l’Alliance
et il devait être présenté à Dieu
avec tous les sacrifices
– qui  Lui étaient offerts
marques et symboles de l’Adoration.
 

à suivre…
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L’Alliance de Dieu (1)

Dieu n’entre jamais en relation avec l’homme
sans établir une Alliance.
C’est Son mode de fonctionnement.
Genèse 9
 
 
L’Alliance faite au temps de Noé
est la première Alliance mentionnée dans les Écritures
mais ce n’est pas la première établie…
Quand Dieu établit une Alliance :
1. Il la décide et la conclut Lui-même
2. Il la rend ferme par des ParolesSerment et Promesse
3. Il donne un Signe pour Souvenir et Attestation
 
4. Il en donne les limites dans le temps de l’homme
perpétuelle (un commencement ET une fin)
éternelle (sans limites car en Dieu)
 
 
 
Le Signe de l’Alliance faite avec la terre
et tout être vivant sur la terre
Ce que nous appelons
l’arc-en-ciel,
vu du ciel est un anneau
et tous les aviateurs connaissent cela.
Ce n’est pas non plus anodin si nous appelons
les anneaux de mariage, des alliances !
Ils sont simplement
le SIGNE de l’Alliance conclue
après avoir prononcé des VŒUX
serment et promesse.
Alliance = Paroles d’engagement Signe pour s’en souvenir
à suivre…
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L’Alliance Renouvelée

 

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