Suite de » Des armes spirituelles… pour devenir des VAINQUEURS «
Paul écrit à l’Église d’Éphèse :
L’Armure complète vient du mot grec panoplia et fait référence au soldat romain qui est couvert de son armure, depuis la tête jusqu’au bout des orteils.
Paul, à cause de ses multiples emprisonnements, eut tout loisir de voir ces illustres soldats romains de très près et put observer leur équipement : le ceinturon, la cuirasse, les chaussures de guerres cloutées, le bouclier massif, le casque magnifique, l’épée, et la longue lance qui pouvait être lancée à une distance impressionnante afin d’empêcher l’ennemi d’approcher…
Le soldat romain du temps néo-testamentaire portait ces sept pièces de l’armure, à la fois offensives et défensives. Nous pouvons en voir dans nos musées encore de nos jours.
– La première pièce entre toutes de l’équipement du soldat romain est la ceinture ou leceinturon. Bien que ce soit la plus banale pièce de son équipement, c’est la pièce essentielle de l’armure car elle permet de tenir toutes les autres parties ensemble.
Par exemple,
– le ceinturon tenait la cuirasse en place,
– le bouclier était attaché au ceinturon dans le temps de repos
– de l’autre côté du ceinturon était suspendue l‘épée quand elle n’était pas utilisée.
Le ceinturon était quelque chose de tellement ordinaire, que le soldat n’aurait as écrit à sa famille pour annoncer qu’il en avait un neuf ! Cependant, il était la pièce maitresse de l’armement du sodat romain, car il tenait outes les autres autres pièces. Sans le ceinturon, les autres pièces ne tenaient pas en place. Il symbolise son appartenance à l’armée ; aussi, même en tenue civile, le soldat l’arbore toujours avec fierté.
– Une magnifique cuirasse était fixée au ceinturon : elle était faite en deux parties, une devant qui couvrait la poitrine et l’autre derrière pour protéger le dos. Des plaques articulées de métal protégeaient les épaules et étaient attachées par des anneaux d’airain.
Ces plaques étaient petites et agencées à la façon des écailles de poisson, se superposant les unes les autres pour donner de l’aisance. Plus tard, la cuirasse s’est transformée en cotte de mailles, petits anneaux métalliques « tricotés » ensemble qui apportaient plus de souplesse tout en protégeant efficacement.
Cette lourde pièce part du haut du cou et descend sur les cuisses jusqu’aux genoux et ressemble à une chemise : c’est la partie la plus lourde et pesante de l’équipement. Cette pièce pouvait atteindre plus de vingt kilos suivant la stature du sodat.
En 1 Samuel 17, 5 nous voyons que Goliath portait une cuirasse de 5000 sicles d’airain soit l’équivalent de 60 kilos !
– Pour compléter cette magnifique cuirasse, le sodat romain portait une troisème arme, terrible, de dangereuses chaussures cloutées. Ces chaussures n’étaient pas du tout les sandales que les gens portent de nos jours avec des bandelettes de cuir autour de la chacille et des orteils !
Les chaussures que portait le soldat romain étaient faites de deux pièces de métal :
– une » guêtre » ou partie de bronze ou d’airain qui couvrait la jambe du soldat : commençant au genou, elle allait jusque sur le dessus du pied comme le ferai une botte
– une » chaussure « : le dessus et les côtés du pied étaient eux aussi couverts par un épaisse plaque de métal
– une semelle cloutée de pointes acérées d’un longueur de 3,5 centimères environ. Mais les pointes de la chaussure de combat atteignaient jusqu’à 10 centimètres !!
C’est ce que Paul appelle délicatement des » chaussures de paix » en Ephésiens 10, 15…
C’étaient des chaussures spécialement faites pour avancer et pour tuer !
– Pour accompagner les chaussures de tueur, le soldat romain avait sur lui, une quatrième arme d’importance, à savoir un grand bouclier oblong.
Ce boulier massif était fait de lanières de cuir tissées entre elles et bordé d’un solide bord de bois et de métal. Il était trempé dans l’huile pour le rendre imperméable et en général peint de motifs destinés à protéger surnaturellement – tout en indiquant l’appartenance à la division.
– La cinquième pièce de l’armure du soldat romain est son casque. C’est la pièce la plus importante qui protégeait la tête de tous choc fatal et pesait environ 7 kilos. Le casque était l’objet le plus remarquable de toute l’armure. Il était impossible pour un soldat romain de passer inaperçu à cause de son casque.
– La sixième pièce de l’armure du soldat romain était l’épée. Bien qu’il existat beaucoup de sortes d’épees dans ce temps-là, l’épée du soldat romain était très large, très lourde et massive. Cette épee était faite spécialement pour le corps à corps et tuer l’adversaire ou l’ennemi.
– Enfin, la septième et dernière pièce de l’armure était la lancespécialement travaillée pour atteindre l’ennemi à distance.
Beaucoup n’ont pas reconnu l’existence de la lance dans Ephésiens 6, 10 mais la lance doit être présente dans ces versets, car nous sommes enseignés à revêtir » l’Armure complète de Dieu « . C’est ce que nous verrons ultérieurement.
Paul nous donne cet ordre en précisant bien à Qui appartient cette Armure : c’est Celle de Dieu.
En grec tou the-o indique un génitif, ce qui correspond à notre complément du nom.
Simplement, cela veut dire que cette panoplie d’armes surnaturelles vient de Dieu directement !
On pourrait traduire ainsi : » Mettez l’Armure complète qui vient de Dieu… «
Endosser l’armure complète !
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Paul écrit à l’Église d’Éphèse :
Revêtez-vous de l’Armure complète de Dieu afin que vous puissiez tenir ferme contre les artifices du diable Éphésiens 6, 10
L’Armure complète vient du mot grec panoplia et fait référence au soldat romain qui est couvert de son armure, depuis la tête jusqu’au bout des orteils.
Paul, à cause de ses multiples emprisonnements, eut tout loisir de voir ces illustres soldats romains de très près et put observer leur équipement :
Le ceinturon, la cuirasse, les chaussures de guerres cloutées, le bouclier massif, le casque magnifique, l’épée, et la longue lance qui pouvait être lancée à une distance impressionnante afin d’empêcher l’ennemi d’approcher…Le soldat romain du temps néo-testamentaire portait ces sept pièces de l’armure, à la fois offensives et défensives. Nous pouvons en voir dans nos musées encore de nos jours.
– La première pièce entre toutes de l’équipement du soldat romain est la ceinture ou le ceinturon. Bien que ce soit la plus banale pièce de son équipement, c’est la pièce essentielle de l’armure car elle permet de tenir toutes les autres parties ensemble.
Par exemple,
– le ceinturon tenait la cuirasse en place,
– le bouclier était attaché au ceinturon dans le temps de repos
– de l’autre côté du ceinturon était suspendue l‘épée quand elle n’était pas utilisée.
Le ceinturon était quelque chose de tellement ordinaire, que le soldat n’aurait as écrit à sa famille pour annoncer qu’il en avait un neuf ! Cependant, il était la pièce maitresse de l’armement du soldat romain, car il tenait toutes les autres autres pièces. Sans le ceinturon, les autres pièces ne tenaient pas en place. Il symbolise son appartenance à l’armée ; aussi, même en tenue civile, le soldat l’arbore toujours avec fierté.
– Une magnifique cuirasse était fixée au ceinturon : elle était faite en deux parties, une devant qui couvrait la poitrine et l’autre derrière pour protéger le dos. Des plaques articulées de métal protégeaient les épaules et étaient attachées par des anneaux d’airain.
Ces plaques étaient petites et agencées à la façon des écailles de poisson, se superposant les unes les autres pour donner de l’aisance. Plus tard, la cuirasse s’est transformée en cotte de mailles, petits anneaux métalliques « tricotés » ensemble qui apportaient plus de souplesse tout en protégeant efficacement.
Cette lourde pièce part du haut du cou et descend sur les cuisses jusqu’aux genoux et ressemble à une chemise : c’est la partie la plus lourde et pesante de l’équipement. Cette pièce pouvait atteindre plus de vingt kilos suivant la stature du soldat.
En 1 Samuel 17, 5 nous voyons que Goliath portait une cuirasse de 5000 sicles d’airain soit l’équivalent de 60 kilos !
– Pour compléter cette magnifique cuirasse, le soldat romain portait une troisième arme, terrible, de dangereuses chaussures cloutées. Ces chaussures n’étaient pas du tout les sandales que les gens portent de nos jours avec des bandelettes de cuir autour de la cheville et des orteils !
Les chaussures que portait le soldat romain étaient faites de deux pièces de métal :
– une » guêtre » ou partie de bronze ou d’airain qui couvrait la jambe du soldat : commençant au genou, elle allait jusque sur le dessus du pied comme le ferai une botte
– une » chaussure « : le dessus et les côtés du pied étaient eux aussi couverts par un épaisse plaque de métal
– une semelle cloutée de pointes acérées d’un longueur de 3,5 centimètres environ. Mais les pointes de la chaussure de combat atteignaient jusqu’à 10 centimètres !!
C’est ce que Paul appelle délicatement des » chaussures de paix » en Éphésiens 10, 15…
C’étaient des chaussures spécialement faites pour avancer et pour tuer !
– Pour accompagner les chaussures de tueur, le soldat romain avait sur lui, une quatrième arme d’importance, à savoir un grand bouclier oblong.
Ce boulier massif était fait de lanières de cuir tissées entre elles et bordé d’un solide bord de bois et de métal. Il était trempé dans l’huile pour le rendre imperméable et en général peint de motifs destinés à protéger surnaturellement – tout en indiquant l’appartenance à la division.
– La cinquième pièce de l’armure du soldat romain est son casque. C’est la pièce la plus importante qui protégeait la tête de tous choc fatal et pesait environ 7 kilos. Le casque était l’objet le plus remarquable de toute l’armure. Il était impossible pour un soldat romain de passer inaperçu à cause de son casque.
– La sixième pièce de l’armure du soldat romain était l’épée. Bien qu’il existât beaucoup de sortes d’épées dans ce temps-là, l’épée du soldat romain était très large, très lourde et massive. Cette épée était faite spécialement pour le corps à corps et tuer l’adversaire ou l’ennemi.
– Enfin, la septième et dernière pièce de l’armure était la lance spécialement travaillée pour atteindre l’ennemi à distance.
Beaucoup n’ont pas reconnu l’existence de la lance dans Éphésiens 6, 10 mais la lance doit être présente dans ces versets, car nous sommes enseignés à revêtir » l’Armure complète de Dieu « . C’est ce que nous verrons ultérieurement.
Paul nous donne cet ordre en précisant bien à Qui appartient cette Armure : c’est Celle de Dieu.
En grec tou the-o indique un génitif, ce qui correspond à notre complément du nom.
Simplement, cela veut dire que cette panoplie d’armes surnaturelles vient de Dieu directement !
On pourrait traduire ainsi : » Mettez l’Armure complète qui vient de Dieu… «