Extrait du site : » Jusqu’à ce que la mort nous sépare… »
Suite de La Grâce appliquée
Le pardon, quel mot merveilleux !
Selon la WORLD BOOK ENCYCLOPEDIA [Encyclopédie mondiale du livre], pardonner c’est :
– Abandonner le désir de punir ou de prendre sa revanche.
– Ne pas avoir de sentiments durs envers.
– Excuser.
– Remettre une dette ou une pénalité.
I. LE PARDON BIBLIQUE : CONFESSION, REPENTANCE ET ABANDON DES PÉCHÉS
Bienheureux celui dont la transgression est pardonnée, [et] dont le péché est couvert ! [payé] Bienheureux l’homme à qui l’Éternel ne compte pas l’iniquité, et dans l’esprit duquel il n’y a point de fraude.
Psaume 32, 1-2
…bienheureux ceux qui sont purs de cœur, car c’est eux qui verront Dieu. Matthieu 5, 8
Bien que ces versets semblent très différents, de contenu et par leur environnement social,ils sont très intimement liés le Plan de Dieu pour travailler avec les hommes. Chaque fois que nous parlons de Pardon dans le contexte de la Bible, nous devons le voir de façon équilibrée.
La béatitude décrite ici par David et par Jésus n’appartient qu’à ceux qui se sont sincèrement tournés vers Dieu dans la repentance, et ont engagé leur vie, sans réserve, la soumettant à la Seigneurie de Jésus-Christ, croyant qu’ils ont été lavés de tout leur péché, par Son Précieux Sang.
Beaucoup aujourd’hui basent la confiance dans le salut et le pardon total sur le simple fait de croire. Aussi merveilleux que cela paraisse, cela manifeste une ignorance de l’Écriture et une vision très réductrice de l’incroyable Œuvre expiatoire du Christ.
L’authentique Pardon biblique implique le pardon de tous les péchés. Le fait même qu’un homme éprouve un besoin désespéré de pardon implique qu’il soit conscient que le péché est dégradant, sale, et mortel.
Nous savons aussi que notre Dieu est si Saint et si Juste que nous ne pouvons pas vraiment Le regarder sans culpabilité et sentiment d’indignité, à moins que ce péché dégradant, sale, et mortel ne soit traité une fois pour toutes, par la mort de Jésus au Calvaire.
La béatitude évoquée dans le Psaume 32 ne décrit pas une personne sans péché, mais une qui était souillée et sale, qui a confessé son péché à Dieu, s’en est repentie, et a ainsi obtenu le pardon de tout son péché. Par ce moyen, Dieu justifie l’impie, pas selon ses propres œuvres ou mérites, mais totalement sur la base de l’Œuvre expiatoire de Christ.
Le véritable équilibre de cette Vérité c’est qu’un Dieu Saint ne peut pas, et ne veut pas, permettre à une âme souillée de communier avec Lui s’il n’est pas purgé de son péché.
Le Psaume 66, 18 dit : Si j’avais regardé l’iniquité dans mon cœur, le Seigneur ne m’aurait pas écouté.
Parole Vivante dit :
Il n’aurait pas écouté si je n’avais pas confessé mes péchés.
Finis J. DAKE, dans son ANNOTATED REFERENCE BIBLE [Bible Annotée] dit au sujet de ce verset : « Si j’avais vu l’ iniquité dans mon cœur et l’avais encouragée ; si j’avais prétendu être ce que je n’étais pas ; et si j’avais aimé l’iniquité, tout en professant prier et être désolé pour mon péché, le Seigneur… ne m’aurait pas écouté. J’aurais été abandonné sans Son aide et Son soutien dans mes périodes difficiles. La première règle du pardon. c’est de confesser, de se repentir, et abandonner tout notre péché passé. Quand une personne est purifiée et pardonnée, la Bible en parle comme d’une personne « au cœur pur ». Elle s’est jugée elle-même, et ses péchés, dans la Présence de Dieu, ouvertement, librement, et n’a aucun besoin de couvrir ses transgressions. Cette personne marche dans la lumière. »
…c’est ici le message que nous avons entendu de Lui et que nous vous annonçons, [savoir] que Dieu est Lumière et qu’il n’y a en Lui aucunes ténèbres. Si nous disons que nous avons communion avec Lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons et nous ne pratiquons pas la vérité ; mais si nous marchons dans la Lumière, comme Lui-même est dans la Lumière, nous avons communion les uns avec les autres, et le Sang de Jésus Christ Son Fils nous purifie de tout péché.
Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous Le faisons menteur et Sa parole n’est pas en nous. 1 Jean 1, 5-10
C’est le processus de Pardon, la conséquence du Pardon, et les principes impliqués dans le Pardon. Dieu est Lumière et il n’y a en Lui aucunes ténèbres. Si nous sommes vraiment pardonnés et rachetés par Jésus-Christ, nous ne pouvons pas continuer à marcher dans les ténèbres et dire que nous sommes en Lui.
Pierre nous dit le merveilleux changement qui a lieu dans la vie de celui qui a été pardonné : …vous, vous êtes une race élue, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple acquis, pour que vous annonciez les vertus de Celui qui vous a appelés des ténèbres à Sa merveilleuse lumière ; vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, mais qui maintenant êtes le Peuple de Dieu ; vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde. Bien-aimés, je vous exhorte, comme forains et étrangers, à vous abstenir des convoitises charnelles,
lesquelles font la guerre à l’âme, ayant une conduite honnête parmi les nations, afin que, quant aux choses dans lesquelles ils médisent de vous comme de gens qui font le mal, ils glorifient Dieu au jour de la visitation, à cause de vos bonnes œuvres qu’ils observent. 1 Pierre 2, 9-12
Nous découvrons soudain que nous sommes en complète opposition avec tout le système du monde :
– Nous aimons Jésus-Christ, et nous Le déclarons Dieu né du Vrai Dieu : le Créateur, Rédempteur, l’Alpha et l’Oméga, le Seigneur des Seigneurs, le Roi des Rois…
– Nous nous soumettons à Sa Parole, Sa Volonté, Sa voie.
– Nos appétits, désirs, buts, aspirations, objectifs et motivations sont complètement à l’opposé du système du monde.
– Nous défilons au son d’un nouveau tambour ; nous suivons un Roi différent et déclarons que nous sommes des pèlerins de passage – ambassadeurs d’un Royaume céleste.
Tout cela résulte de notre conscience d’avoir été pardonnés.
Les incroyants marchent dans les ténèbres et refusent de venir à la Lumière, tandis que nous désirons marcher dans la Lumière, parce que nous avons été pardonnés. Si, cependant, nous ne voyons aucun besoin de confesser, nous repentir, et abandonner nos péchés passés, alors, quels que soient notre religiosité, notre ferveur, et notre enthousiasme, la Vérité n’est pas en nous. Ces pauvres âmes, qui ne voient pas l’horreur du péché, et croient quand même qu’elles peuvent approcher Dieu autrement que par la repentance et l’abandon de leurs péchés passés, se trompent elles-mêmes. Si nous disons que nous avons communion avec Lui, et que nous marchions dans les ténèbres,
nous mentons et nous ne pratiquons pas la vérité ! 1 Jean 1, 6
La Bible Amplifiée dit :
[Alors],si nous disons que nous partageons ensemble et jouissons de la communion avec Lui, alors que nous vivons, nous déplaçons et marchons dans les ténèbres, [à la fois] nous parlons faussement et nous ne vivons ni ne pratiquons la Vérité [que l’Évangile présente]. C’est dire qu’une personne qui est véritablement pardonnée n’a qu’une pensée, et marche ainsi sur un chemin droit, désirant faire plaisir à Celui qui l’a rachetée par Son Sang précieux. Si quelqu’un qui est pardonné trébuche et tombe, il doit le confesser – être d’accord avec le nom que Dieu donne à cet acte – immédiatement. Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés, et nous purifier de toute iniquité. 1 Jean 1, 9
Nous devons juger notre péché pour ce qu’il est vraiment : si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. 1 Corinthiens 11, 31
Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés, et nous purifier de toute iniquité.
II. LE PARDON BIBLIQUE : PARDONNER AUX AUTRES
Une autre vérité biblique sur le pardon, c’est qu’il est réciproque.
Si nous attendons de Dieu qu’Il nous pardonne nos péchés, nous devons aussi pardonner aux autres, c’est un commandement !
Voici le principe : si vous pardonnez, Il pardonnera. Si vous ne pardonnez pas, Il ne pardonnera pas. En fait, Dieu vous pardonnera au degré où vous pardonnez aux autres ! Il y a de nombreux versets qui mettent en avant cette proposition, et nous devons reconnaître que Dieu est très sérieux à ce sujet : nous devons être prêts à pardonner complètement aux autres, afin d’être pardonnés.
En Matthieu 6, Jésus donnait Son sermon sur la montagne, où Il exposait ce principe vital : …remets-nous nos dettes, comme nous aussi nous remettons à nos débiteurs… Car si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi à vous ;mais si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs fautes, votre Père ne pardonnera pas non plus vos fautes. Mathieu 6, 12 ; 14-15
En Luc 11, les disciples de Jésus Lui demandèrent comment prier. Il leur donna un modèle de prière qui affirmait à nouveau cette vérité vitale : …remets-nous nos péchés, car nous-mêmes aussi nous remettons à tous ceux qui nous doivent… Luc 11, 4
Puis, en Matthieu 18, Jésus utilise une parabole frappante, non seulement pour enseigner ce principe, mais pour nous avertir des graves conséquences si nous manquons d’y obéir : Alors Pierre, s’approchant de Lui, dit :« Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi, et lui pardonnerai-je ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? » Jésus lui dit :
« Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois. C’est pourquoi le Royaume des Cieux a été fait semblable à un roi qui voulut compter avec ses esclaves. Et quand il eut commencé à compter, on lui en amena un qui lui devait dix mille talents. Et comme il n’avait pas de quoi payer, son seigneur ordonna qu’il fût vendu, [lui], et sa femme, et ses enfants, et tout ce qu’il avait ; et que le payement fût fait. L’esclave donc, se jetant à ses pieds, lui rendit hommage, disant : « Seigneur, use de patience envers moi, et je te payerai tout. » Et le seigneur de cet esclave-là, touché de compassion, le relâcha et lui remit la dette. Mais cet esclave, étant sorti, trouva un de ceux qui étaient esclaves avec lui, qui lui devait cent deniers ; et l’ayant saisi, il l’étranglait, disant : « Paye, si tu dois quelque chose. » Celui donc qui était esclave avec lui, se jetant à ses pieds, le supplia, disant :
« Use de patience envers moi, et je te payerai. » Et il ne voulut pas ;
mais il s’en alla et le je ta en prison jusqu’à ce qu’il eût payé la dette.
Or ceux qui étaient esclaves avec lui, voyant ce qui était arrivé, furent extrêmement affligés, et s’en vinrent et déclarèrent à leur seigneur tout ce qui s’était passé. Alors son seigneur, l’ayant appelé auprès de lui, lui dit : « Méchant esclave, je t’ai remis toute cette dette, parce que tu m’en as supplié ; n’aurais-tu pas dû aussi avoir pitié de celui qui est esclave avec toi, comme moi aussi j’ai eu pitié de toi ? » Et son seigneur, étant en colère, le livra aux bourreaux, jusqu’à ce qu’il eût payé tout ce qui lui était dû. Ainsi aussi Mon Père céleste vous fera, si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur, chacun à son frère. » Matthieu 18, 21-35
Il y en a beaucoup dans l’église aujourd’hui qui se demandent pourquoi ils n’ont pas de joie, de paix, ou de satisfaction durable. Quelque part en chemin, ils ont refusé de pardonner à quelqu’un qui leur a fait des chose horribles ; ou de pardonner à quelqu’un qu’ils ont aimé. À plusieurs reprises, ils disent :« Je ne peux pas leur pardonner. Vous n’avez pas idée du mal qu’ils m’ont fait. »
Je dois alors réitérer ce principe : être pardonné en pardonnant aux autres. Je leur montre qu’ils sont l’esclave de la parabole, qui devait au roi entre douze et vingt millions de dollars. Comme cet esclave, ils ne possédaient aucun moyen de Le payer, cependant Il leur a complètement pardonné. De la même façon, nous sommes maintenant l’esclave, et quelqu’un nous doit cent centimes – le salaire d’un jour – et nous disons : « Je ne peux pas lui pardonner. »
S’il vous plaît, sachez que je veux dire cela avec le plus d’amour possible, mais je dois dire la vérité. Ce n’est réellement pas vrai que nous « ne pouvons pas » pardonner à une autre personne.
Faire cette déclaration est en contradiction directe avec ce que Jésus nous a dit de faire.En réalité, nous disons : « Je ne veux pas pardonner. » et ça, c’est de la rébellion ! Le Seigneur Jésus a décrit ce que serait le résultat de cette rébellion aux versets 34 et 35 :
Et son seigneur, étant en colère, le livra aux bourreaux, jusqu’à ce qu’il eût payé tout ce qui lui était dû. Ainsi aussi Mon Père céleste vous fera, si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur, chacun à son frère. »
Matthieu 18, 34-35
C’est un commandement clair et concis de Jésus-Christ Lui-même, qui a aussi dit en Jean 14 : Si vous M’aimez, gardez Mes commandements…
Jean 14, 15
Je suis tellement heureux du degré de pardon que j’ai reçu le soir où j’ai fait confiance au Christ et me suis repenti de mon péché.
En Ésaïe 38, 17, on me dit concernant mes péchés :
…Tu as jeté tous mes péchés derrière Ton dos.
En Michée 7, 19, Michée dit de Dieu :
…Tu jetteras tous leurs péchés dans les profondeurs de la mer.
En Jérémie 31, 34, le Seigneur parle des péchés d’Israël : …Je pardonnerai leur iniquité, et Je ne me souviendrai plus de leur péché.
Parole Vivante dit :
Je pardonnerai et oublierai leurs péchés.
En Ésaïe 43, 25 Dieu parle encore à Israël et à Juda :
C’est Moi, c’est Moi qui efface tes transgressions à cause de Moi-même ;
et Je ne me souviendrai pas de tes péchés.
Dans le Psaume 103, 12 David déclare l’étendue de notre pardon :
Autant l’orient est loin de l’occident, autant Il a éloigné de nous nos transgressions.
Lorsque Dieu m’a pardonné, Il a jeté mes péchés derrière Son dos, dans la Mer de Son oubli, pour ne plus jamais s’en souvenir. Ils sont partis, et Il ne me les rappelle jamais – mais le diable le fait – Il ne fait jamais d’historique quand Il est en communion avec moi ; Il n’enterre jamais la hache de guerre en laissant sortir le manche, pour y revenir plus tard.
Quel Glorieux Sauveur !
Une chose qui attriste le Cœur de Dieu dans le domaine du pardon, c’est que nous attendons de Lui qu’Il nous pardonne complètement, qu’Il oublie toutes nos transgressions passées, tandis que nous continuons à donner des excuses, disant pourquoi nous, nous ne le pouvons pas.
Personne ne nous a cloués sur une croix, mais ils l’ont fait à Jésus, et tandis qu’ils le faisaient, Il disait : « Père, pardonne-leur ! »
Certains de ceux qui lisent ceci ont été terriblement blessés par leur partenaire de mariage. Ils ont été humiliés, diminués, dégradés, trahis, on leur a menti, et ils ont été abandonnés. Cependant, aucune de ces circonstances ne nous dispense de l’obligation d’obéir au commandement de Christ de pardonner.
…comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné… Éphésiens 4, 32
Nous devons décider d’obéir à Dieu, et renoncer à toute la douleur, la colère, le ressentiment, la pitié de soi, la solitude, et réaliser que nous devons leur pardonner complètement – pas pour eux, mais pour nous.
J’ai entendu beaucoup de gens dire : « Je leur ai pardonné, mais je n’arrive pas à oublier. »
…comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné. Éphésiens 4, 32
D’autres disent : « Je lui ai pardonné, mais je ne veut simplement plus être avec lui/elle ; je ne l’aime plus. » J’aimerais pouvoir aider les gens à comprendre que “l’amour” qu’ils ont éprouvé autrefois n’est peut-être plus là parce qu’ils ont changé d’avis. Beaucoup disent qu’ils « n’ont plus de sentiments » pour l’autre. S’il vous plaît, comprenez que l’amour n’est pas un sentiment – bien qu’il puisse produire des sentiments. L’amour est une décision que nous devons prendre par obéissance au Christ, que nous l’éprouvions ou non.Sinon, comment pourrions-nous obéir à d’autres commandements comme :
Vous avez ouï qu’il a été dit : « Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi ». Mais Moi, Je vous dis : « Aimez vos ennemis, [bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent],
et priez pour ceux qui [vous font du tort et] vous persécutent, en sorte que vous soyez les fils de votre Père qui est dans les Cieux… »Matthieu 5, 43-45
Connaissez-vous quelqu’un comme cela ?
Car si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense avez-vous ? Les publicains même n’en font-ils pas autant ? Et si vous saluez [êtes amicaux envers – dans la Parole vivante] vos frères seulement, que faites-vous de plus [que les autres] ? Les nations même ne font-elles pas ainsi ? Matthieu 5, 46-47
L’amour est une décision !
Pardonner est une décision !
Nous devons pardonner, si nous espérons être pardonnés.
Je veux que chaque personne en souffrance prie sur cette vérité, et ensuite, en posant un acte de volonté, obéisse. La confiance ne sera peut-être pas totale, mais commencez par un pardon total, afin d’être libres. C’est tellement mieux que d’être livré aux bourreaux !
Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. Jean 8, 36
Libres par la confession, la repentance, et l’abandon de tous nos péchés. Libres en ayant pardonné aux autres, et échappé aux bourreaux. C’est la liberté au plus haut degré !
…vous supportant l’un l’autre et vous pardonnant les uns aux autres, si l’un a un sujet de plainte contre un autre ; comme aussi le Christ vous a pardonné, vous aussi [faites] de même. Colossiens 3, 13
…ne rendant pas mal pour mal, ou outrage pour outrage, mais au contraire bénissant, parce que vous avez été appelés à ceci, c’est que vous héritiez de la bénédiction ! 1 Pierre 3, 9
Puisse chacun d’entre nous se déterminer à connaître la Bénédiction et la Paix de Dieu par le pardon complet !
Ne laissez pas passer un jour, faites le maintenant !
Ne restez pas seul dans cette démarche
si vous rencontrez des difficultés :
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